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BILAN 2019

Lorsque l'échec vous éclaire sur vous-même et devient un observatoire de la société

J’ai eu ce projet fou de vouloir de proposer un coffret où les plantes seraient abordées différemment.

Un projet ou les interactions, les échanges et les partages seraient le trait d’union du coffret.

 Avant d’aller plus loin sur mon projet, je savais que le projet serait également confrontée à des remises en question personnelle, des réajustements, des vérités parfois dérangeantes.

Car comme je le disais un projet traduit parfois nos forces mais aussi faiblesses inconscientes.

A travers mes différents échanges, j’ai tenté de mettre de la transparence.

Autant pour expliquer le projet et sa pierre angulaire, que pour proposer des produits qui correspondaient aux valeurs chères à mes yeux.

 Valeurs environnementales, écologiques et interactions.

Vu comme cela, rien d’extraordinaire. C’est vrai, l’écologie, l’environnement est dans l’air du temps. Beaucoup en ont fait ou leur cheval de bataille ou leur fonds de commerce.

Mais comme j’aime à le dire, je suis une mauvaise herbe. Je vous assure, je ne le fais pas exprès, c’est dans ma nature.

A la suite de cet échec , je me suis posée plusieurs questions pour savoir comment je devais me repositionner

Mais avant tout, il m’a fallu faire une introspection et mettre en lumière mes faux pas.

Sans m’étendre sur les détails, je résumerais en disant:

- Manque de discernement: Ne pas aider ceux ou celles qui n’ont rien demandé, car donner ce n’est pas recevoir et bien souvent la gratitude ne sera pas de mise.  

J’aime ce proverbe qui dit: tout acte charitable mérite son châtiment!

En effet, parfois les gens apprécieront ce que vous ferez pour eux, d’autres pas du tout parce qu’ils ne vous ont rien demandé ou parfois parce vous ne leur rapportez rien.

Ils ne verront pas que cela vous a demandé du travail, une prise de risque, une croyance, une foi dans l’homme en général.

Je ne regrette rien: comme on dit: on donne ce que l’on a au fond de soi, et chacun vous redonne ce qu’il a au fond de lui.

Au delà des bons sentiments collectifs qui scandent le partage, les échanges etc, au niveau individuel, nous vivons une autre réalité et ce décalage est très révélateur. Mais je dois avouer aussi que nous avons aussi chacun notre propre curseur.  

- Enfin, Ne pas se mettre en situation de dépendance vis à vis des autres qui ont leurs propres préoccupations.

Maintenant au delà de ces remises en question personnelle, qu’est ce que cet échec me révèle?

Je formulerais le bilan de cette année sous forme d’interrogations.

 

 QU’EST CE QUE JE PREFERE: AVOIR LE CHOIX OU ETRE RASSUREE?

Reprenons:

Aujourd’hui, l’environnement, l’écologie, la traçabilité sont des thèmes récurrents pour toute personne plus ou moins sensible à l’avenir de notre planète. Et pour cause!

Aujourd’hui, les commerces l’ont bien compris: Il est important d’avoir ou un label ou une argumentation verte, écologique ou engagée afin de répondre aux exigences de la population.

Afin de proposer le meilleur, ma démarche est et restera toujours la même: celle d’aller plus en profondeur dans les argumentations avancées: TRANSPARENCE

 Une transparence car la transparence permet de s’assurer que nous faisons des choix en cohérence avec nos engagements, n’est ce pas?

Vos engagements?  Les chocolats certifiés bio, le Travail avec des coopératives, la juste rémunération des producteurs, les produits non testés sur les animaux, les produits bio .... très bien, j’adhère, .. Je suis intéressée, j’achète! Je dirais mieux, me voila rassurée et donc je peux savourer mon café, mon chocolat, mes produits cosmétiques, mes jus de fruits en toute sérénité et sans me poser de questions. On me le dit, je le crois n’est ce pas?

ET APRES?

Je suis bien consciente que notre engagement environnemental est pluriel, comme je l’avais présenté dans mon projet, notre sensibilité environnementale prend plusieurs voies, nos attentes variées :Bio, recyclage, production locale, courts circuits, sans OGM, labellisé, tracabilité, dans le respect de l’environnement, des producteurs, de la cause animale, contre le gaspillage, etc qu’importe, il y tant et tant de façons de s’engager pour l’environnement.

Nous conviendrons que quelque soit la structure en question, rares pour ne pas dire aucunes ne pourraient répondre à toutes ces attentes.

Seulement voilà, si dans une brochure ou un site, on me vante la traçabilité et, qu’une fois que je pose des questions quant à en savoir plus, le mutisme domine, il est normal que je m'interroge.

Ou bien on me vante des produits venant d' une coopérative d’un village, la transparence veut que l’on puisse me dire de quel village, leur organisation, non? soyons honnête et transparent, sinon, il ne s’agit alors que de marketing ambiant.

Combien il est facile de nous duper, de nous rassurer et pour cause, nous nous satisfaisons de ces belles étiquettes, de ces belles histoires, de ces beaux arguments... alors pourquoi en serait il autrement?

Si vous saviez le nombre de structures que j’ai sollicité pour avoir plus d’informations sur une des caractéristiques qu’ils mettaient en avant pour finalement me rendre compte que c’était la loi du silence qui prédominait. Non pas, parce que c’est sensé être un secret.

Ne serait ce pas contradictoire que les arguments qui incitent les clients à acheter, soient tenus secrets, alors que de part et d’autre, les français et pas seulement, nous appelons de nos voeux à la transparence?

Mais jusqu'où va notre désir de transparence?

Personne ne se mettrait une balle dans le pied alors que le mot d’ordre aujourd’hui est TRANSPARENCE, n’est ce pas?

Mais marketing oblige, il faut mettre du vert dans ses produits.

Je sais pertinemment que chacun tente de vivre, survivre tirer, son épingle du jeu, et c'est là où le bât blesse.

Mais je suis une consommatrice également et je ne peux que m’offusquer d’être prise ainsi pour un pigeon.

Donc résumons; le commerce a récupéré les attentes, les aspirations les demandes de changement et l’a accolé sur ses emballages et produits.

Et même si ce ne sont que des phrases marketing, finalement cela nous rassure et nous nous en contentons, n’est ce pas?

Parce que si nous devions en toute sincérité aller en profondeur, si nous devions demander avant toute achat la preuve de ce qui est là pour nous séduire, combien de structures sincèrement répondraient avec authenticité à vos interrogations.

Je persévère sur mon projet malgré tout, parce que j'y crois.

Alors me direz vous: elle est folle!!!!!! elle se tire une balle dans le pied!!!!personne ne voudra collaborer avec elle?

POSSIBLE MEME CERTAINEMENT, mais finalement seul(e) ceux et celles qui ont des choses à se reprocher s'offusqueront, les autres non!.

Mais je le répète et le rappelle: Avant de mettre en place mon projet, je suis CONSOMMATRICE et en ce sens, j’attends de pouvoir consommer du café en sachant que les producteurs seront rémunérés justement, j’attends de consommer du cacao qui ne sera pas cultivé par des enfants et dans des forêts protégées, j’attends de consommer des plantes médicinales qui seront exemptes de pesticides, j’attends de pouvoir acheter une huile essentielle en étant sûre de ne pas favoriser un traffic illicite, j’attends de décider si je vais prendre une énergie renouvelable dite plus propre, plus verte et plus écologique tout en sachant qu’avant d’en arriver à cette énergie propre, il faudra pourtant encore faire appel à des énergies fossiles pour les infrastructures que  pour récupérer ces énergies, il faudra encore et sûrement détruire plus de paysages naturels et augmenter l'extraction de ressources naturelles.

.Bref, Alors me diriez vous que je suis exigeante.

Là encore possible mais finalement, notre santé, notre nutrition, notre bien-être n’est il pas essentiel?

Mais pas que! Car plus qu’une question d’exigence, il est question de choix et je souhaite que mes achats correspondent à mes valeurs.

Donnez moi le choix, le choix de consommer avec ou sans parabene, de consommer bio ou pas bio.

Donnez moi le choix en me donnant les VRAIES informations et non des discours marketés.

Je vous demande de me respecter en tant que consommateur, pour qu’en tant qu’acheteuse, je puisse enfin me dire que je ne suis pas un simple yoyo attaché à votre fil marketing....

Bon, j’en fais trop?

Ok, tout ca pour vous dire qu’à mon humble avis,  si nous aspirons vraiment à un changement, nos seules demandes ne suffiront pas, nos seules applications pour connaître les composants de nos produits ne suffiront pas, les étiquettes ne suffiront pas.....

Mais les questions, l’exigence de la transparence, le fait de ne pas se contenter de .....
parce que dans cette histoire, qui est floué?

Si nous avons juste besoin d’être rassuré, alors soit.

Si nous avons besoin de choisir en conscience, nous devons alors exiger cette transparence.

Cependant, force est de constater que demander la transparence pour certains arguments, comme le bio, signifie exposer à la concurrence des informations qui leur sont propres et des informations avec leurs partenaires. 

Pourtant, excepté les labels qui ne sont pas fiables (en tout cas peu le sont),excepté la transparence de certains, nous n'avons que peu de sécurité. 

Bien sur, je  réitère l'initiative de demander, quoiqu'il en soit, afin que producteurs et fournisseurs sachent que nous nous en soucions réellement et qu'en tant que consommateurs, nous avons droit à cette transparence. 

L'Allemagne a d'ailleurs mis au point un système très intelligent afin d'identifier réellement les produits BIO, malheureusement, pour l'instant, ce n'est applicable que pour les fruits et légumes. 

DONC EN ATTENDANT, QUESTIONNEZ ET PRENEZ LE TEMPS DE FAIRE DES RECHERCHES

https://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/13239/sassurer-quun-produit-vraiment-bio-cest-possible-grace-decouverte-allemande

Alors certes, nous sommes de plus en plus nombreux à déserter les grandes surfaces mais la vigilance reste de mise. Il ne faudrait pas que les autres petits ou moyens commerçants reprennent le relais.  

 

 Voila ce que je ressens et comment je ressens les choses, selon mon prisme.

Je ne peux pas revenir en arrière, ce qui est fait est fait mais je peux tenter de corriger le tir et de ne plus fermer les yeux, de ne pas faire preuve de cécité quant aux réalités, injustices, avanies de ce monde.

 

Je ne veux pas tant limiter ma consommation, que consommer autrement, en me souciant non seulement de ce qui entre dans mon corps mais également de mon implication dans ma façon de consommer. Parce que je pense aujourd’hui que notre façon de consommer montre qui nous sommes, nos valeurs, nos engagements.

JE RECONNAIS: 

J’ai beaucoup consommé au détriment des autres «ces autres à l’autre bout de la planète»:

Que m’importait d’acheter un T-shirt fabriqué en chine par des enfants, que m’importait d’acheter un pull alors que les producteurs de coton étaient constamment spoliés et que la spéculation parachevait de les enfermer dans un goulet d’étranglement.

Que m’importait de leurs moyens de production, de subsistance, j’ai consommé sans me soucier si de l’autre côté de la planète, tel endroit ne recevait pas mes déchets toxiques.

J’ai consommé sans me demander quel enfant ramassait les matières premières, en dépit de la déclaration des droits de l’enfant.

J’ai consommé sans me demander si pour répondre à mes attentes, de l’autre côté de la planète, on faisait travailler des personnes en les payant au lance-pierre pendant que chez nous cela est revendu une fortune et acheté sans aucun problème.ai consommé sans me demander si les produits n’étaient pas issus de contrebande, de traffic.

J’ai consommé sans me demander si l’utilisation de telle ou telle plante tant vantée n’est pas la résultante de biopiraterie ou d’appropriation illégale d’un savoir traditionnel.

Oui consumérisme oblige, j’ai consommé de façon anarchique.... Mais comment aurais je pu savoir?

 Mais aujourd’hui, je ne peux plus dire que je ne savais pas......Parce qu’il y a encore tant de choses que je ne sais pas.

Tous ces scandales, ces produits toxiques, ces médicaments mortels, ces aliments remplis d’additifs m’ont fait sortir violemment de mes illusions, ignorance ou de mon inconscience.

Pendant toutes ces années, j’ai cultivé l’ignorance par facilité, donc aujourd'hui,je dois faire avec ce que je sais, et tenter de l’appliquer autant que je peux.

On parle de consommer autrement.

Pour moi, consommer autrement ne signifie pas seulement consommer essentiellement des produits estampillés bio, ou labellisés.

Pour moi, consommer autrement signifie choisir ses angles de vue et s’assurer que les produits choisis au delà des étiquettes, labels ou autre répondent à mes valeurs.

En résumé, si j’opte pour des produits cultivés de façon équitable, j’attends que la marque, les produits me donnent toutes les informations pour m’assurer de ce qu’ils prêchent.

Demander les informations peut-être certes fastidieux mais n’est ce pas ainsi que nous reprenons notre pouvoir, nous consommateurs? Ou préférons nous nous fier aux informations, labels et autre? Si c’est cela, nous refaisons alors les mêmes erreurs qu’auparavant:

Soyons honnêtes, nous sommes malgré tout encore DANS UNE SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION, ce qui sous-entend que chacun cherchera à tirer son épingle du jeu. Certains le feront de façon louable et d'autres beaucoup moins: publicités mensongères, greenwashing. NE PAS CHERCHER A VÉRIFIER FAVORISE ET FAVORISERA ENCORE PLUS CES ABUS.

Si vous aviez participé comme moi à des réunions de consommation, vous seriez surpris de connaître les arcanes de la publicité, du marketing. Et je ne parle pas seulement de publicités télévisuelles.

Certes, il existe toujours des belles initiatives mais puis-je aussi dire ce qu'il est difficile d'admettre:

Les grandes enseignes semblent perdre des parts de marché car l’ensemble de la population choisit de consommer autrement (plus vert, plus bio, plus sain, plus naturel).

Beaucoup de petites et moyennes structures axent leur communication sur nos attentes, n’est ce pas?  Et si ces structures, sous couvert de répondre à nos besoins reprenaient les mêmes contrefaçons?

Mon seul moyen de savoir, c’est de poser des questions, de savoir, d’observer qui répond, qui ne répond pas, qui s’abstient.

Bien sûr, je le précise de nouveau tous les commerces ne sont pas à mettre dans le même panier. Et c’est pour cela que j’insiste sur le fait que les produits ne PEUVENT PAS RÉPONDRE A TOUTES NOS ATTENTES .

Mais lorsqu’on choisit un angle, quelqu’il soit cela ne doit pas être un simple argument mais une façon d’être et de faire et de le PROUVER.

Dans la mesure de mes moyens, j’essaie de conscientiser mes achats mais surtout de reprendre mon pouvoir en tant que consommatrice.

Bien sûr, cela nécessite de chercher à en savoir un peu plus, de forcer sa curiosité, mais peut-être aussi en questionnant, je dérange telle l’herbe indésirable.

Et puis, il est difficile de faire cela pour chacun des produits achetés mais levons le voile: Bien que certains commerces sont vertueux et transparents, ce n’est pas le cas de tous, loin s’en faut. Et les révélations sur des étiquettes (vertes, bio, ecolo etc ) mensongères devraient nous contraindre à être plus vigilant et à vouloir cesser d’être dupé.

Pour mon projet, il était impossible de ne pas avoir la certitude de présenter des produits dont les engagements n’étaient pas avérés.

Herbe indésirable?
De quoi se mêle t-elle à poser ce genre de questions?

Ben de ma santé, de mes achats et pardonnez moi d’avance de ne pas vouloir me laisser bercer par les doux arguments, pardonnez moi de vouloir m’assurer que les produits son issus de démarches bio ou écolo telles que cela est affirmé.

Pardonnez moi de ne pas vouloir me contenter des arguments bien que tant convaincants, je l’avoue.

Pardonnez moi de douter, de m’interroger, d’être suspicieuse, pardonnez moi de faire parfois l’écho des articles de 60 millions de consommateurs et bien d’autres qui attestent que bon nombre de produits apparemment certifiés bio, ne le sont pas, que bon nombre d’étiquettes apposées sur des produits sont mensongères..

Bref, avoir une consommation responsable même sur des sites internet marchands est difficile sans un accès à une  à une information complète.

En espérant que je pourrais enfin mettre de l'harmonie et de la cohérence entre mes valeurs et mes actes. 

QU’EST CE QUE JE PREFERE? VIVRE DE MA PASSION OU VIVRE SOUS PRESSION? 

Est ce que l'un va forcément avec l'autre?

Je parle en fonction de mes seules expériences personnelles, en aucun cas, elles ne valent plus que des expériences.

Au fil de mes échanges avec les divers producteurs ou fournisseurs qui répondaient à mes critères de transparence, ce qui est ressorti c’est les nombreuses difficultés auxquelles les petites structures sont confrontées.

Souvent sous l’eau avec des heures de travail à rallonge, beaucoup de pression, sans oublier parfois l’intolérance des consommateurs qui sans aucun respect pour tout ce travail, déverse leur frustration, colère ou insatisfaction sur les réseaux, il fut difficile de pouvoir établir des relations suivies car trop sous pression.

J’en conclue que pour des petites structures, malgré parfois leur bonne volonté, tenter de nourrir des interactions vraies et sincères est un vrai parcours du combattant autant pour moi que pour ces structures.

Heureusement, parfois, nous rencontrons malgré tout de belles personnes pleines de bonne volonté mais avec un manque de temps, de disponibilité, noyé sous les mails et demandes diverses et de moyens pour aller au delà du simple aspect commercial.

Pourtant, nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir avoir des relations de proximité avec nos commerçants.

Triste conclusion

La question est: à quel moment assumer les lourdes responsabilités dépassent le plaisir du projet?

Cela m’a beaucoup appris: j’ai toujours mon projet que je remodèlerais mais il est important pour moi que mon envie ne soit pas assujetti à un rythme qui me soustrait au plaisir initial.... Voeu pieux? l'avenir me le dira!

J’en viens à me demander si au final c’est ce que je souhaite... la réponse est définitivement non

Alors en guise de conclusion, je dirais:

- je n'ai pas la science infuse, je partage mes pensées en fonction des connaissances glanées, elles sont loin d'être érigées en diktat. 

_ il me faut alors repenser ce projet mais autrement car Il faut chaque fois se réinventer!  

- Le projet concrètement est un échec mais m’a apporté énormément d’éléments très instructifs, les blocages structurels, mais pas seulement, je continue ce projet peut-être sous une autre forme ou pas  parce que je continue à penser que nous avons besoin de l’essentiel mais plus encore de transparence.

Transparence dans les relations, transparence dans les échanges, transparence dans le commerce.  

Utopique? Peut-être mais comme on dit, qui ne tente rien n’a rien.

Donc je vous invite à me donner votre avis, vos astuces, vos retours d'expérience qui me permettrait d'élargir mes horizons. 

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pourquoi la salamandre?

La salamandre est connue pour régénérer intégralement ses membres amputés ou ses organes partiellement détruits. La salamandre nous enseigne la patience d'attendre en se déplaçant lentement dans les actions et la pensée.

Elle aide au renouveau à la renaissance pour aller de l'avant, enseigne les connaissances dans la compréhension de la sensibilité émotionnelle, montre la façon de regarder, écouter observer et de réfléchir pour ensuite agir de la façon appropriée.

De cette façon, la salamandre nous encourage à chercher tous les recours internes que nos possédons et desquels nous ne sommes parfois pas conscients, mais qui sont nécessaires à nos vies. Elle nous envoie aussi un message particulier: nous ne devons jamais nous déclarer vaincus y nous devons chercher à nous renouveler aussi souvent que possible.

EN attendant: LA REINE EST MORTE, VIVE LA REINE

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